Toyota, en tant que partenaire mondial de mobilité du Comité international olympique, offrira pour les Jeux de Paris 2024 une flotte de bus à hydrogène. Ces bus, initialement diesel, seront convertis pour transporter 5 000 visiteurs. Après l'événement, ils continueront de servir en Ile-de-France. Le projet implique la collaboration de Toyota avec GCK pour la fourniture de modules de piles à combustible, qui seront installés sur 10 bus Iveco. Ces véhicules seront ensuite acquis par BE Green, entreprise française de transport sans émissions. Outre ce projet, Toyota fournit également une flotte de voitures Mirai pour l'événement. Ces initiatives s'inscrivent dans l'effort de Toyota pour promouvoir une transition vers une société neutre en carbone.

Source : Inside EVS

Le conseil des ministres a adopté un décret pour encadrer l'exploitation des taxis, taxi-motos et tricycles dédiés au transport public. Celui-ci impose une licence délivrée par le ministère du transport routier et une autorisation des collectivités territoriales. L'objectif est d'améliorer l'organisation, la sécurité routière, la reconnaissance des taxis et le confort des passagers. Les actuels exploitants ont 24 mois pour se conformer, impactant des dizaines de milliers de professionnels.

Source : Republic of Togo

Chloé Nollet, 21 ans, a innové en lançant FLM, une application de livraison de repas ciblant les communes rurales dans la Somme. À la différence des géants tels qu'Uber Eats, l'approche de FLM est locale, et elle connaît un franc succès. En moins de neuf mois, 3 000 commandes ont été passées. Actuellement opérant à Albert et Corbie, la start-up, rentable dès son premier mois, reçoit près de 20 commandes quotidiennement. Les restaurateurs et clients sont ravis, et Chloé, qui a dû embaucher quatre employés, n'aurait jamais imaginé un tel essor en si peu de temps.

Source : Capital

General Motors, Cruise et Honda forment une coentreprise pour lancer un service de taxis autonomes à Tokyo, capitalisant sur l'infrastructure favorable de la ville. Forts d'un partenariat depuis 2013, ils prévoient de débuter le service avec le Cruise Origin en 2026, visant une flotte de 500 véhicules. Face à des défis réglementaires aux États-Unis, cette initiative s'inscrit aussi dans la volonté de commercialiser des véhicules autonomes à grande échelle au Japon.

Source : Siècle Digital