Le parlement wallon a approuvé un projet de décret réformant le secteur des taxis pour intégrer des plateformes comme Uber, tout en maintenant une régulation. La réforme vise un équilibre entre concurrence équitable et déploiement innovant pour répondre aux besoins modernes, avec une transparence tarifaire accrue et des mesures de sécurité renforcées pour les clients. Des quotas et certifications resteront en place pour les chauffeurs. Malgré cela, l'opposition critique l'ubérisation et craint l'inefficacité du service.

Source : L'avenir.net

Uber Technologies s'associe avec Los Angeles Yellow Cab et d'autres filiales pour accroître l'offre de taxis sur sa plateforme. Ce partenariat permettra aux taxis de recevoir des réservations via l'application Uber, ajoutant jusqu'à 1 200 véhicules à la plateforme. Des accords semblables ont été conclus dans d'autres marchés mondiaux, renforçant les liens d'Uber avec l'industrie des taxis privés. Les utilisateurs auront l'option de choisir ou refuser un taxi lorsqu'ils réservent une course avec UberX, avec les tarifs UberX applicables.

Source : Boursorama

La Belle Vie a repris la plateforme de livraison Frichti, maintenant 168 emplois et modifiant le modèle de livraison. Frichti a été acquise pour 30 000 euros, avec une provision de 450 000 euros pour les stocks. La nouvelle structure, New Frichti, ne hérite pas des litiges en cours. La réglementation sur les "dark stores" a causé des difficultés, incitant d'autres acteurs comme Flink et Getir à quitter le marché français. Les livreurs indépendants et certains employés font face à l'incertitude et aux retards de paiement suite à la reprise.

Source: Notre Temps

Uber lance un service «taxi» à Lausanne et dans plusieurs villes alémaniques, permettant aux chauffeurs indépendants de proposer des courses au tarif standard des taxis. Cependant, les règlements locaux empêchent actuellement les chauffeurs de taxis officiels de collaborer avec plusieurs plateformes, et beaucoup restent réticents à travailler avec Uber, perçue comme une menace à leur activité. De plus, le statut légal des chauffeurs Uber et la position de la société en tant qu'employeur restent des questions non résolues, avec une procédure en cours dans la ville et le canton. Les autorités restent silencieuses et Uber n’a pas encore déposé de demande officielle concernant son nouveau service.

Source : 20minutes.ch