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Uber et Cartken testent des robots de livraison autonomes à Fairfax

Uber et Cartken testent des robots de livraison autonomes à Fairfax

La start-up Cartken et Uber s'associent de nouveau pour tester des robots de livraison autonomes à Fairfax, en Virginie. Ces robots peuvent livrer jusqu'à deux paquets et rouler avec leurs six roues jusqu'à 9 km/h, tout en étant parfaitement autonomes. En cas de scénario imprévu, le robot peut appeler un opérateur pour aviser. Le quartier de Mosaic à Fairfax compte plus d'une quarantaine de restaurateurs et est considéré comme un terrain de jeu idéal pour les robots de Cartken. Ce test est mené avec Grubhub. D'autres entreprises, telles que Amazon, Alibaba, Walmart et Ford, se sont également intéressées aux programmes de livraisons autonomes.

Source: Siècle Digital

Accord historique : les livreurs à vélo obtiennent une rémunération horaire minimum et une meilleure protection sociale

Accord historique : les livreurs à vélo obtiennent une rémunération horaire minimum et une meilleure protection sociale

Les plateformes de livraison et les représentants des livreurs à vélo ont conclu un accord historique pour améliorer les conditions de travail de ces derniers. La question de la rémunération financière était cruciale, car la plupart des livreurs ne pouvaient pas prétendre à toucher au moins le Smic. Les plateformes ont convenu de verser une rémunération horaire minimum de 11,75 euros aux livreurs, ainsi que d'autres mesures, telles que l'encadrement des modalités de rupture du lien commercial et l'obligation d'une intervention humaine dans chaque procédure de désactivation de compte. La Fédération nationale des auto-entrepreneurs et micro-entrepreneurs a salué ces avancées, mais prévoit des négociations futures sur l'amélioration du revenu des livreurs par la mise en place de primes, entre autres.

Source : TF1 Info

Image : Midjourney

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Didi Chuxing dévoile son prototype de robotaxis minibus avec bras robotisé et système Lidar

Didi Chuxing dévoile son prototype de robotaxis minibus avec bras robotisé et système Lidar

Didi Chuxing, la société chinoise de covoiturage, a dévoilé son nouveau prototype de véhicule autonome, le "Didi Neuron", un robotaxis minibus. Ce concept-car mesure 4,5 mètres de longueur, soit deux fois plus spacieux qu'un taxi conventionnel. Il est équipé d'un système de Lidar développé par Benewake, permettant la détection des obstacles environnants. Le "Didi Neuron" est la dernière évolution de la flotte de véhicules autonomes de Didi, qui comprend déjà des voitures autonomes de taille conventionnelle, en partie fournies par Volvo.

Le "Didi Neuron" dispose d'un intérieur équipé d'un bras robotisé, capable de charger et décharger les bagages des passagers, de les réveiller à l'arrivée, de leur donner une bouteille d'eau, de ramasser les objets qui tombent, et même de jouer à pierre-papier-ciseaux avec eux. Ces nouvelles fonctionnalités sont assez inédites dans une navette autonome.

L'objectif de Didi est d'offrir une expérience de transport plus confortable et plus pratique pour les passagers, tout en augmentant l'efficacité de la flotte de véhicules autonomes. La société s'efforce également de devenir un leader dans le domaine des voitures autonomes, en travaillant en partenariat avec des entreprises technologiques pour développer des systèmes de conduite autonome de pointe.

Didi prévoit de tester le "Didi Neuron" sur des routes ouvertes dans un avenir proche, avec des plans pour déployer les véhicules en Chine et éventuellement à l'étranger. Ce nouveau prototype de véhicule autonome est une étape importante pour l'entreprise, qui cherche à se démarquer dans le secteur de plus en plus concurrentiel de la mobilité autonome.

Source : Usine Digitale

Photo : DiDi Global via tphuang sur Twitter

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Les consommateurs dépensent plus en livraisons de repas qu'en restaurants

Les consommateurs dépensent plus en livraisons de repas qu'en restaurants

Selon une enquête récente de l'Observatoire Cetelem, la livraison de repas à domicile est de plus en plus populaire auprès des consommateurs. La moitié des adeptes de ce service ont cité le plaisir de commander un plat livré chez eux comme la principale raison de leur choix. Seulement 33 % ont déclaré que ce type de consommation leur évitait de cuisiner. Plus encore, 56 % des personnes interrogées ont affirmé qu'elles ne pouvaient plus se passer de la livraison de repas à domicile.

Cette tendance à commander des repas livrés à domicile se reflète dans le budget moyen consacré à cette pratique, qui est de 83 euros par mois. Les foyers aisés ont tendance à dépenser encore plus, avec une moyenne de 121 euros. En outre, 59 % des personnes interrogées ont avoué qu'elles dépensaient plus pour des repas livrés qu'elles ne le feraient lors d'une sortie au restaurant.

Cette tendance peut être due à la commodité offerte par la livraison de repas à domicile, permettant aux consommateurs de profiter de leurs plats préférés dans le confort de leur maison, sans avoir à se soucier de la préparation et du nettoyage. De plus, la pandémie de Covid-19 a probablement joué un rôle important dans cette tendance, en obligeant les gens à passer plus de temps chez eux.

Source : Yahoo Actualités

Bedrock : l'IA générative d'Amazon

Bedrock : l'IA générative d'Amazon

Amazon lance Bedrock, un service IA générative pour les clients de son offre cloud AWS. Disponible en avant-première pour certains clients, Bedrock propose une variété d'outils alimentés par l'IA, offrant un choix de plusieurs modèles de langage, y compris Titan d'Amazon, AI21, Anthropic et Stability AI. Amazon promet de fournir à ses clients "le choix et la flexibilité" grâce à ses puces AWS Inferentia et AWS Trainium, permettant de réaliser des économies sur l'entraînement des modèles et leur exécution dans le cloud.

Avec l'entrée d'Amazon sur le marché des IA génératives, il rejoint des géants de la tech tels que Microsoft, Google et Meta, qui ont déjà lancé des services similaires. Bedrock devrait être déployé plus largement au deuxième semestre 2023. Cette initiative est une réponse à l'engouement croissant pour les robots conversationnels, comme ChatGPT d'OpenAI.

Source : Les Numériques

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