Le projet de loi sur la justice pour les chauffeurs de covoiturage au Massachusetts propose des réformes majeures pour les conducteurs d’Uber, Lyft et autres applications similaires, en instaurant un salaire minimum, le droit de se syndiquer, et en offrant des protections contre la discrimination ainsi que l’accès à l’assurance-chômage et à l’indemnisation des travailleurs. Bien que visant à améliorer les conditions de travail de ces conducteurs, le projet suscite l’opposition de ceux qui craignent une perte de leur flexibilité et indépendance. Une étude révèle que 75% des conducteurs préfèrent conserver leur statut de contractant indépendant, soulignant la nécessité d’un équilibre entre protection et autonomie. En réponse aux inquiétudes, Lyft s'engage à améliorer la part des revenus reversée aux conducteurs dès 2024, illustrant les efforts pour concilier les besoins des travailleurs avec la dynamique du marché du travail dans l’économie de partage.

Source : yourtopia

Emirates a réintroduit son service de VTC pour les clients de Première classe et classe Affaires à l’aéroport international Tokyo-Haneda. Les passagers peuvent choisir parmi des véhicules haut de gamme comme les Mercedes Benz S et BMW Full Electric i7, disponibles dans la métropole de Tokyo et ses environs. Ce service gratuit, réservable en ligne ou via les centres d'appels, offre une expérience de voyage porte-à-porte, alignée sur le luxe et le confort caractéristiques d'Emirates.

Source : Air Journal

Dès 2024, le coût des trajets en VTC via des applications comme Uber ou Bolt à Paris augmentera, avec un tarif minimum de 10,60 euros par course. Cette hausse tarifaire vise à améliorer la rémunération des chauffeurs, incluant une garantie de revenus horaires minimum de 30 euros et un revenu kilométrique d'un euro au kilomètre. Cette augmentation, qui démarre le 1er février 2024, cherche à équilibrer la sécurité financière et la flexibilité pour les chauffeurs, avec des effets sur les usagers.

Source : Sortir à Paris

Les discussions de l'Union européenne pour améliorer le statut des livreurs et chauffeurs VTC, ciblant des entreprises comme Uber et Deliveroo, sont dans une impasse. Après deux ans de négociations, les ministres du Travail des États membres n'ont pas réussi à s'accorder sur une directive visant à accorder un statut proche de celui des salariés à ces travailleurs. La proposition, qui a suscité des désaccords parmi plusieurs pays dont la France et l'Allemagne, n'a pas été votée, laissant les travailleurs et leurs représentants mécontents et prêts à manifester.

Source : Clubic