La revente de faux comptes de livreurs Uber Eats se généralise, facilitant le travail illégal de sans-papiers et de mineurs. Cette pratique expose les acheteurs à des arnaques coûteuses et des risques de suspension rapide des comptes. Le phénomène, apparu avec la location de comptes en 2018, est aujourd'hui plus structuré malgré les contrôles par reconnaissance faciale. En parallèle, la concurrence accrue a fait chuter les tarifs de livraison.
Source: Capital